Severus Rogue
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 La vie avec lui

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Aline

Aline


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MessageSujet: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMar 21 Nov - 12:32

1)La rencontre.


Tout était noir dans les rues de Londres. On ne voyait pas un chat
Depuis quelle l’avait vu, elle ne rêvait que de lui, elle ne pensait qu'à lui.
Mais il y avait plus d'un problème : il était connu alors qu'elle non ... De plus il partageait déjà sa vie avec quelqu’un.

« Quelle idée ais-je eu !!! » se dit-elle.

Elle tournait en rond depuis le matin, elle était fatiguée, elle n'en pouvait plus d'être ainsi.
Elle s'assit sur les marches devant une grande maison.
Il recommençait à neiger...Rien de plus normal pour une soirée de décembre.
Là apeurée, épuisée, à bout de force, elle se mis à pleurer...

Lorsqu'une voix s'éleva dans son dos :

- Ca ne va pas mademoiselle ?

Elle connaissait cette voix, un frisson parcourra son épine dorsale alors qu'elle se retournait.. Elle retint son souffle lorsqu'elle reconnu l'homme qui lui faisait face... C'était lui... L'homme de ses pensées, de ses rêves... L'homme qu'elle recherchait depuis le début du jour...

- Mademoiselle ? Vous allez bien ? Reprit-il.

L'effet de surprise s'estompant un peu, elle voulu se lever mais manqua de tomber. Prompt aux réflexes, il la rattrapa et l'aida à franchir le seuil de sa demeure tout en lui soufflant dans l'oreille :

- Venez avec moi... Vous n'avez pas l'air d'être très en forme et vous êtes trempée. Je vois que vous avez un petit sac de voyage avec vous, vous avez de quoi vous changer ? Car si vous restez ainsi, vous risquez de tomber malade.
- Oui, j'ai ce qu'il me faut dans mon sac...

Il lui fit traverser le hall et la conduisit à l'étage où il l'a fit entrer dans une chambre :

- Je vois que vous avez repris quelques couleurs, vous pourrez vous changer toute seule, mademoiselle... ?
- Desjardin, Amandine Desjardin.
- Enchanté, je m'appelle Alan...
- Rickman... Je sais.
- OK, je vous laisse vous changer. Quand ce sera fait vous pourrez me rejoindre au salon... 1ère porte à gauche en bas des escaliers...
- Très bien merci.

Il sortit. Cinq minutes plus tard, toute vêtue de blanc faisant ainsi ressortir la couleur marron-vert de ses yeux, elle descendit au salon.
Dès qu'elle fit son entrée, il l'invita à se joindre à lui :

- Ne restez pas là. Prenez place près de moi... Je vous ai préparée une tasse de thé.

Le rouge aux joues, elle s'installa dans un fauteuil fort confortable et pris la tasse de thé à l'orange qu'il lui tendait.
Les senteurs d'oranges et de fleurs d'oranger s'élevant de la tasse lui remit en mémoire la fois où elle l'avait croisé dans un restaurant italien alors qu'elle savourait un gâteau au chocolat et à l'orange.

- Alors vous venez d'où ? Demanda-t-il.
- De Lille.
- En France ?
- Oui... Je sais je suis folle...
- Mais non voyons... Vous devez avoir vos raison pour venir jusque ici.

Elle détourna alors le regard, une larme coulant sur sa joue. Puis se ressaisissant, elle redressa la tête :

- Voilà, je vais être honnête avec vous ... Si je suis venue jusqu'ici, c'est simplement dans le but de réaliser mon rêve... Pour être plus précise, afin de vous rencontrer avant qu'il ne soit trop tard...
- Trop tard ? Vous savez il me reste encore pas mal d'année à vivre... Lui dit-il un sourire au coin des lèvres.
- Vous certainement... Mais moi non... Voyez vous, je suis atteinte d'une tumeur des plus malignes... Selon les médecins, il ne me reste au mieux que 12 mois à vivre...

Il l'observa quelques secondes le visage grave :

- Quel âge avez-vous, Amandine ?
- 23 ans...
- Oh mon Dieu !! Vous être si jeune...
- Vous savez, vous n'avez pas besoin d'avoir pitié de moi.
- Ce n'est pas de la pitié, cela me fait simplement mal de voir une si jolie jeune fille souffrir...

Elle lui sourit, but une gorgée de son thé et repris :

- Alors, c’est donc vrai ce que l’ont raconte sur vous...
- Et qu’est ce que l’on raconte sur moi, Amandine ? Si je peux vous appeler par votre prénom.
- Oui, bien sur.
- En retour, vous pouvez m'appeler Alan... Très bien, je vous écoute.
- Et bien... Voilà, je suis inscrite à un forum de discussion sur internet qui s’appelle « Alan Rickman Paradise ». Et toutes les filles qui y sont inscrites également vous voue une adoration sans borne. Si vous saviez tout ce qu'elles disent sur vous, vous en seriez rouge d'embarras...
- Je vois... Pour ma part, je n'aime pas trop l’informatique.
- Pourtant vous avez un ordinateur. Répondit-elle en désignant un ordinateur portable traînant sur une table.
- Oui, c’est Rima qui l'utilise.
- Vous devriez.
- Et je suppose que vous utilisez un pseudo sur ce forum... Quel est-il ?
- Aline.
- C’est très jolie...

regarda rouge d'embarras...

- Vous savez que vous être très belle quand vous rougissez, poursuivit-il.

Elle lui lança un petit regard timide avant de reprendre la parole:

- Arrêtez... Ce genre de compliments tend à me gêner... Si vous continuez je ne vais plus savoir où me mettre...
- Excusez moi, Je ne voulais pas vous troubler.
- Ne vous excusez pas, vous n'avez besoin de rien faire pour me troubler... Un simple regard et je deviens rouge pivoine...

« Je n'aurais peut-être pas dû dire ça... » Se dit-elle. « J'ai dû tout gâcher comme d'habitude... »

Il vit qu'elle semblait gênée sans doute de ses paroles, il repris donc la parole d'une voix rassurante, un sourire au coin des lèvres :

- Je me doute que cela doit être impressionnant qui ne serait pas troublé s'il rencontrait la personne qu'il admire...

Ils restèrent quelques secondes à s'observer l'un l'autre en silence, puis voyant que le silence se poursuivait, il pris la parole :

- Alors ? Vous êtes inscrite depuis combien de temps sur ce forum ?
- Un peu plus de trois mois, répondit-elle timidement.
- Pauvre de vous ?

Elle le regarda d’un air surpris, avant de lui demander :

- Que voulez vous dire par « Pauvre de vous » ?
- Et bien de discuter tous les jours de moi vous deviez finir par en faire des cauchemars la nuit...

Elle se mit à rire :

- Bien sur que non !!! Vous n'êtes pas Voldemort non plus … Et puis...

Elle se tut rapidement se rappelant qu'il n'aimait qu'on lui parle de Harry Potter... Elle voulut alors se rattraper mais il pris la parole avant elle :

- Peut-être mais lui au moins n'a pas un si gros nez... Lui dit-il avec un sourire.
- Vous savez... je le trouve très mimi votre nez... Ne vous sous-estimez pas vous êtes très bel homme.
- Merci bien, mais...
- Il n'y a pas de mais qui tienne, l'interrompit-elle, c'est la stricte vérité. Regardez-vous dans un miroir et vous verrez...

Sans même s'en rendre compte ils s'étaient rapprochés l'un de l'autre au cours de leur petite conversation, leurs visages se penchaient déjà l'un vers l'autre presque inconsciemment...
Lorsque le téléphone sonna...

Amandine reconnut sa sonnerie. Elle ne décrocha pas, préférant l'ignorer. Alan ne demandait pas mieux. Hélas la sonnerie se faisait toujours plus insistante. Exaspérée, elle pris son téléphone et reconnue le numéro de son père avant d'éteindre son portable le visage crispé.
Alan la regarda surpris par sa réaction, ne pouvant rester indifférent, il attendit qu'elle s'assit avant de demander:

- Pourquoi ne pas avoir décroché ? Cela pouvait être important... Ce pourrait-il que ce soit une personne que vous ne désirez plus voir, un petit-ami par exemple ?
- Non ce n'était que mon père... Vous savez c'est une personne très dure, je ne supporte plus son caractère, je suis fatiguée de ses remarques constamment blessantes...
- Cela peut vous faire du bien de vous confier à quelqu'un... Il s'avère que je ne suis pas trop mauvais comme confident...
- Je n'en doute pas... Voyez-vous, je ne sais pas bien ce que j'ai pu lui faire mais il est toujours blessant, toujours à me critiquer, à me rabaisser... Et dès que j'ai un truc à dire il me fait comprendre, pas du plus gentiment, de me la fermer...

Elle termina sa phrase avec difficulté, une boule lui montant dans la gorge, et bien vite des larmes se mirent à couler le long de ses joues.
Voyant qu'elle n'était pas bien, il lui tendit un mouchoir et lui dit de sa voix la plus douce :

- Prenez-le, de si beaux yeux ne devraient pas pleurer...

Elle l'accepta d'un sourire triste :

- Merci mais je pense qu'il me faudra plus d'un mouchoir pour que cela passe...

Et elle se mit à sangloter de plus belle.
Ne supportant pas de la voir ainsi, il mit un bras autour de ses épaules et la serra très fort contre lui, elle fourra son visage au creux de son cou, ainsi dans ses bras, elle commença à se calmer... Ses sanglots s'estompant lentement... Ils restèrent ainsi plusieurs minutes collés l'un à l'autre jusqu'à ce qu'Amandine reprenne une respiration régulière. Alors Alan posa sa main sous le menton de la jeune fille, releva son visage vers le sien et lui demanda :

- Ca va mieux ?
- Oui... Je crois... Répondit-elle, perdant son regard dans le sien.

Lentement, il pencha son visage d'à peine quelques centimètres, déjà leurs lèvres se frôlaient et d'une étreinte passionnée, ils s'embrassèrent.
Subitement elle le repoussa et lui dit :

- Ce n'est pas bien, nous ne pouvons pas... Si mes info sont justes, vous n'êtes pas libre et je ne suis pas du genre à piquer l'homme d'une autre femme...
- Vous parlez de Rima je suppose...
- En effet...
- Et bien vous apprendrez qu'entre Rima et moi c'est terminé depuis longtemps.
- Vraiment ? S'étonna-t-elle.

Elle l'observa quelques secondes et vit très clairement que cette rupture lui était douloureuse.

- Je suis vraiment désolée, lui dit-elle.
- Ce n'est rien ne vous en faites pas... Lui répondit-il avec un léger sourire. Cela fait mal comme toujours lorsqu'une longue histoire prend fin... Bien et si nous changions de conversation... Vous avez faim ?

Elle acquiesça d'un signe de tête.

- Très bien, venez.

Il lui pris la main et la conduisit jusqu'à la cuisine, où il lui offrit une chaise... Elle s'installa et l'observa faire l'inventaire :

- Des oeufs, du fromage, quelques lardons... On va pas aller bien loin...
- Hum... Vous savez ce qu'est une omelette ? Demanda-t-elle.
- Oui en effet... Mais...
- Mais vous ne savez pas faire ?
- ... Je n'ai pas vraiment de don pour la cuisine...
- Alors laissez-moi faire... Je ne suis pas ultra douée pour la cuisine non plus mais l'omelette est la base de l'alimentation facile, rapide et économique...

Il lui sorti une poêle et tout ustensile dont elle aurait besoin. Elle se mit alors à la tâche. De son côté, il prépara une salade. Tout en s'activant, elle lui détailla chaque étape de la préparation :

- ... Donc maintenant la cuisson... Sans doute l'étape la plus délicate enfin de mon point de vue... Vous préférez votre omelette baveuse ou bien cuite ?
- Baveuse... Vous avez terminé avez le sel ?
- Oui.

Elle lui sourit et le lui tendit. Dans leur échange, leurs doigts se frôlèrent. Leurs regards plongés dans celui de l'autre, ils se rapprochèrent. Soudain, elle se rendit compte que son omelette risquait de brûler, elle coupa court à ce moment d'égarement. Quant à lui, il retourna à sa salade mais pris par ses pensées il continua à l'observer du coin de l'oeil.

- Très bien, j'ai terminé, où voulez-vous que je mette l'omelette ?
- Donnez là moi, je vais la mettre dans un plat, mais asseyez-vous, vous en avez assez fait.

Elle s'exécuta... Quelques minutes plus tard, la table était dressée et le plat servi.
Ils étaient assis l'un à côté de l'autre. Il la regarda dévorer le contenu de son assiette, lui demandant de temps à autre si elle désirait quelque chose : un peu plus de salade, un verre de vin...

- C'est gentil mais non merci, je ne bois que de l'eau... Oh ! Vous avez un peu de sauce là...

Du bout des doigts, elle lui essuya le coin des lèvres, dans un même temps, il lui pris la main, la pressa contre sa joue et lui déposa un baiser au creux de la paume.
En retour, elle lui caressa la joue tendrement et lui sourit.
Mais elle retira rapidement sa main. Le visage crispé, elle se massa la tempe droite, une douleur à la tête venant de la saisir.

- Tout va bien ? Demanda-t-il.
- Ce n’est rien juste un petit coup de fatigue… J’ai eu une assez longue journée… Le rassura-t-elle.

Il tourna la tête pour regarder l’horloge du four : 22h30. Puis reporta son attention sur son invité :

- Vous avez un endroit où dormir cette nuit ?
- Euh… Et bien non… J’envisageais de prendre une chambre dans un hôtel… Vous n’en connaîtriez pas un, non loin d’ici, par hasard ?
- Le plus simple selon moi est que vous restiez dormir ici, j’ai une chambre à votre disposition…
- C’est vraiment très aimable de votre part mais je ne sais pas si je peux accepter, vous en avez déjà fait tant pour moi… Je ne voudrais pas vous déranger plus…
- Voyons !!! Vous ne me dérangez pas le moins du monde. Au contraire, un peu de compagnie me fera le plus grand bien…
- Ce serait avec plaisir mais je ne peux vraiment pas. Vous venez à peine de me rencontrer, vous ne pouvez pas héberger une parfaite inconnue… Sait-on jamais, je pourrais être une psychopathe…
- Et bien je prends le risque… S’il vous plaît, j’insiste… De plus les hôtels dans le quartier, ne sont pas du plus abordable…
- Très bien, puisque vous insistez… Mais vous ne savez pas dans quel pétrin vous vous êtes fourré… Répondit-elle un sourire malicieux aux lèvres.
- Nous verrons ça… Bien sûr vous pouvez rester aussi longtemps que vous le désirez…
- Je ne veux pas abuser de votre hospitalité…
- Je n’en doute pas mais je pense tout de même que cela vous fera le plus grand bien de vous éloigner quelque temps de chez vous…
- Fort bien mais en contre parti, je ne veux pas vous être redevable, si vous voulez, je peux faire le ménage, la cuisine… Elle s’interrompit et se mit à rire…
- Qu’y a-t-il ? S’enquit-il.
- Non rien juste une idée qui m’a traversé l’esprit… Je me disais juste que bientôt nous allions finir comme un vieux couple.

Il lui sourit avant de reprendre :

- C’est très aimable à vous, Amandine de vous proposer ainsi à l’entretien de ma maison mais ce n’est pas nécessaire, j’ai un majordome qui s’en charge très bien…
- Un majordome ?
- Oui, je sais, ça sonne très snob mais il me faut bien quelqu’un pour s’occuper de cette maison et Nigel est parfait pour ça…
- Nigel ? Cela fait vraiment très cliché… Le pauvre avec un tel nom il était prédestiné…
- Oui je sais… Mais je soupçonne les majordomes de changer de nom afin de coller au mieux avec leur personnage…

Elle se mit à rire, mais fut interrompu par un bâillement :

- Je suis désolée, mais je commence à être très fatiguée.
- Oui bien sur, je comprends… Répondit-il en se levant. Je vais vous conduire à votre chambre… Celle dans laquelle vous vous êtes changée vous convient-elle ?

Elle se leva à son tour :

- Euh… Oui… Bien évidemment même si je ne suis pas sûre de mériter une si belle chambre…
- C’est pour cela que je vous ai donné la moins belle de la maison, répondit-il d’un air narquois.

Il lui pris la main et l’entraîna à l’étage. Une fois devant la chambre, il repris la parole :

-
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Aline

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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMar 21 Nov - 12:32

Donc voila, cette porte vous conduira à votre propre salle de bain, si vous avez froid pendant la nuit vous trouverez des couvertures dans l’armoire… Et si vous avez besoin de quelque chose en particulier, ma chambre est au bout du couloir…
- Merci beaucoup Alan… Cette chambre est parfaite, trop même…
- Voyons une aussi belle femme se doit de dormir dans un lit confortable…
- Comment savez-vous qu’il est confortable ?
- Là n’est pas la question… Répondit-il un sourire au coin des lèvres. Vous avez tout ce qu’il vous faut ?
- euh… Et bien… Je viens de penser à quelque chose…
- Oui ?
- Voila… Je n’ai pris pour mon voyage que très peu de vêtements et…
- Ne vous en faîtes pas pour ça, Amandine… Nous irons faire les magasins demain pour renouveler votre garde robe… A moins que vous n’ayez pas assez…de… euh…
- D’argent ?
- Oui…
- Vous savez que vous êtes très chou quand vous êtes gêné ?
- S’il vous plaît… Amandine… Vous n’avez pas répondu à ma question…
- Et bien j’ai assez d’argent pour me payer… une pomme de terre…
- Bah… Ne vous en faîtes pas pour ça… Je…
- Vous ne m’offrirez rien du tout… Vous m’hébergez chez vous, vous n’allez pas en plus m’offrir des vêtements… Je me sens assez redevable comme ça…
- Mais je n’avais pas l’intention de vous faire une telle proposition… J’ai très bien compris que vous n’êtes pas du genre à accepter quelque chose sans rien donner en échange… J’allais donc juste vous proposer de devenir mon assistante…
- Votre assistante ?
- Oui, j’aurais besoin de quelqu’un pour répondre au téléphone, gérer mes rendez-vous… etc…
- Vous n’en avez pas déjà une…
- Non, elle m’a quitté il y a deux semaines pour pouvoir s’occuper de sa fille à plein temps…
- Et bien je ne sais pas si je pourrais faire l’affaire car je n’ai pas la formation mais j’accepte…
- Très bien, j’en suis heureux… Je vais maintenant vous laisser, vous semblez exténuée…
- Oui en effet…
- Bien, bonne nuit, Amandine.
- Bonne nuit et merci pour tout.
- De rien.

Il l’embrassa sur la joue et regagna sa chambre.
Amandine quant à elle pris son sac et entra dans la salle de bain. Avant de prendre une douche, elle attrapa sa boîte à médicaments, elle en dégagea les pilules inclues dans son traitement et les ingéra.
Dix minutes plus tard, elle sortait de la douche, elle se rendit alors compte que son sac ne contenait pas de chemise de nuit… Elle se trouva donc fort embarrassée… Elle s’enroula de sa serviette de bain et d’un pas décidé alla frapper à la porte de son patron. Moins de 10 secondes plus tard, ce dernier vint lui ouvrir :

- Que se passe-t-il ? S’inquiéta-t-il en la voyant ainsi apparaître seulement vêtue d’une serviette de bain…
- Rien de grave, rassurez-vous… Je voulais savoir, si vous n’aviez pas un vieille chemise ou un truc du genre, j’ai comme qui dirait oublié de prendre un pyjama…
- Hum… Je vois, attendez moi là, j’en ai pour deux secondes.

Il retourna dans sa chambre et par l’embrasure de la porte, elle le vit fouiller dans une grande armoire. Il revint quelques secondes plus tard avec une chemise de nuit bleue :

- Tenez, elle était à Rima… Je lui avais offert mais elle ne l’a jamais mise…
- C’est bien dommage pour elle, elle est très jolie… En tout cas merci bien…
- De rien, retournez vite dans votre chambre, vous risquez d’attraper froid ainsi vêtue…
- Ok… Bonne nuit…
- Oui, bonne nuit…

Elle regagna donc sa chambre, enfila rapidement son nouveau vêtement et se glissa sous les couvertures… A peine sa tête avait elle touchée l’oreiller qu’elle s’endormie…
Quelques heures plus tard, Alan lui aussi dormait du sommeil du juste lorsqu’il fut réveillé en sursaut par un cri de terreur. D’un bond il fut hors du lit, et il se précipita dans la chambre d’Amandine :

- Amandine tout va bien ?

Il s’approcha du lit, la jeune fille y était recroquevillée pleurant de tout son saoul. Il s’assit donc près d’elle et la pris dans ses bras bien décidé à la réconforter.
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maryryder

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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMer 22 Nov - 14:04

super ta fic aline!!! j'adooooooore!!!!!!
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Aline

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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMer 22 Nov - 16:47

Merci Mary je mais le reste demain le deuxieme chapritre Smile
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Aline

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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeVen 24 Nov - 11:40

2. Et la douleur s’estompe

Alan lui caressa les cheveux lentement, tendrement, la serra très fort contre lui et lui murmura des mots réconfortants. Après quelques minutes, elle se détendit et se calma enfin. Il desserra son étreinte et l’aida à reposer délicatement sa tête sur son oreiller. Puis il resta ainsi assis près d’elle sur le bord du lit à l’observer.
Lentement, elle lui prit la main, son visage exprimant encore le souvenir de ses terreurs nocturnes :

- Je suis vraiment désolée de vous avoir réveillé… Lui dit-elle gênée. J’aurais due vous prévenir que j’étais sujette aux cauchemars…

Elle fut alors de nouveau prise de tremblements, elle était fatiguée, effrayée et rongée par ses souvenirs… Alan la repris donc dans ses bras, il la sentait fragile, désespérée. Il ne désirait qu’une chose à cet instant : l’aider à aller mieux, lui faire oublier ses malheurs, la rendre heureuse tout simplement…Mais il ne savait par où commencer.
Les convulsions d’Amandine s’estompèrent lentement, elle releva alors la tête et observa quelques secondes son compagnon de ses yeux gonflés et rouges :

- S’il vous plaît, restez avec moi cette nuit… Murmura-t-elle.
- Mais bien sur, il est hors de question que je vous laisse toute seule dans cet état…

Sur ces mots, il s’allongea près d’elle, cette dernière se serra contre lui et déposa sa tête sur son torse :

- Cela ne vous dérange pas que je reste ainsi ? Demanda-t-elle.
- Bien sûr que non. Du moment que vous n’êtes pas trop entreprenante… Répondit-il le sourire aux lèvres.
- Promis… De toute façon, je suis bien trop timide pour tenter quoi que ce soit, même dans mes rêves je ne le pourrais pas…
- En parlant de rêves… Reprit-il doucement. Je ne voudrais pas être trop indiscret, mais selon moi je pense que cela pourrait vous faire du bien d’en parler… Je me demandais ce qui vous tourmente tant pour vous poursuivre jusque dans votre sommeil ?
- Rassurez-vous, il n’y a rien d’indiscret à cela… C’est mon passé tout simplement…

Alan sentit son corps se crisper contre lui.
« Décidemment, cette jeune fille n’a pas du avoir la vie facile… » Pensa-t-il avant de prendre la parole :

- Si un jour vous éprouvez le besoin d’en parler, sachez que je suis là…
- Merci… Même maintenant ?
- Bien sur si cela peut vous soulager…
- Vous n’êtes vraiment pas un homme comme les autres, Monsieur Rickman.
- Ne m’idéalisez pas trop, j’ai beaucoup de travers comme tout le monde… Répondit-il, gêné.

Profitant de la situation, elle lui déposa un baiser au coin des lèvres, il ne la repoussa pas et lui sourit en retour.

- Vous savez, vous êtes sans doute la première personne à ne pas me repousser, à ne pas me juger et peut-être bien à me respecter…
- Vous n’avez jamais eu d’ami ? S’inquiéta-t-il.
- Si quelques uns, mais la plus part se moquent de moi plus qu’autre chose… Par exemple, au lycée, je pensais avoir des amis, jusqu’au jour où j’ai appris que dans mon dos ils ne cessaient de me rabaisser… Me sachant trop timide pour répondre à leurs attaques, ils en ont profité, ils m’ont moralement salie… Quand j’y repense vous ne pouvez imaginer à quel point cela me fait mal de les entendre me traiter de débile, me dire que je ne sais rien, que je ressemble plus à une attardée mentale qu’à autre chose…
- Ils ne vous ont jamais frappée, j’espère…
- Non, bien évidemment… Mais les mots peuvent parfois faire plus mal que les poings, répondit-elle en se blottissant un peu plus contre lui.
- Je vois… C’est de la jalousie pure… Sachez, que la méchanceté se paye un jour ou l’autre… vous n’y êtes pour rien dans cette histoire, ils n’ont jamais pris le temps de vous connaître, de vous apprécier à votre juste valeur… Vous verrez, un jour, ils s’en mordront les doigts…
Bien, vous devriez maintenant essayer de dormir… Un peu de repos et tout ira mieux demain…

Elle acquiesça d’un simple hochement de tête et ferma les yeux… Ainsi, bercée par la respiration régulière de son ami, elle se rendormie rapidement, suivie de près par ce dernier.

Le lendemain matin, lorsqu’il se réveilla, ils étaient encore dans les bras l’un de l’autre. Il tourna lentement la tête vers le petit réveil déposé sur la table de chevet à sa droite, il était 8h. Mais comment sortir de ce lit sans la réveiller ? Il dégagea doucement son bras coincé sous la tête de la jeune fille qu’il déposa délicatement sur un oreiller… Il put alors sortir du lit, il rabattit ensuite les couvertures sur elle et lui caressa lentement les cheveux… Elle semblait si sereine dans son sommeil…
Soudain, la sonnerie d’un téléphone retentit. Maudissant intérieurement, la personne qui venait le déranger si tôt le matin, il se précipita dans sa chambre pour répondre.
Le téléphone l’ayant réveillée, Amandine ouvrit les yeux pour voir Alan sortir de sa chambre. Encore engourdie par le sommeil, elle s’étira et se leva lentement avant de le suivre. Devant la porte ouverte de sa chambre, elle attendit patiemment qu’il termine sa conversation. Lorsqu’il la vit dans l’encadrement de la porte, il lui sourit puis lui fit signe d’entrer. Elle ne se fit pas priée et vint s’asseoir sur le bord du lit. Quelques minutes plus tard, il raccrochait le combiné et s’adressait à Amandine :

- Je suis désolé de vous avoir réveillée… Si vous le désirez vous pouvez aller vous recoucher.

Pour toute réponse, elle s’approcha de lui et l’embrassa sur la joue tendrement, tout en lui caressant l’autre joue de sa main :

- Bonjour M. Rickman… Et vous n’avez pas à vous excuser, un bel homme comme vous peut s’octroyer le droit de réveiller qui il veut… Lui murmura-t-elle à l’oreille.

Ce à quoi il répondit, de sa voix profonde et sensuelle :

- Si vous le dîtes… Mais je reste tout de même gêné, vous dormiez si paisiblement et votre apparence était tel un ange venu tout droit du paradis pour éclairer la terre et les hommes…
- Pourquoi venu ? Mais je suis au paradis depuis que je suis près de vous… J’ai l’impression de revivre… Vous me voyez donc dans l’obligation de rester à jamais auprès de vous… Ma vie en dépend… Poursuivit-elle sur le ton de la plaisanterie.
- Très bien, je vous prends aux mots… Dorénavant, je ne vais nulle part sans vous… Et nous allons débuter notre entreprise en se promettant de toujours prendre notre petit-déjeuner ensemble et ce quelque soit l’endroit où nous nous trouvons.
- Ok, je relève le défi… Répondit-elle en riant… Qui sait, notre vie commune nous mènera peut-être à Paris… Dans ce cas là, my dear english friend, je veux qu’à votre tour vous me promettiez que nous irons prendre ce petit déjeuner sur les Champs…
- Cela va de soit, ma très chère et tendre petite française. Répondit-il un sourire aux lèvres. Mais pour le moment, profitons de l’instant présent, c’est si exaltant d’avoir une aussi adorable personne à ses côtés.

Il lui sourit, mais se rendit rapidement compte de la disparition de la bonne humeur de la jeune fille. En effet, cette dernière n’affichait plus le visage gaie qu’elle lui avait jusque là présenté mais un regard embué par des larmes naissantes. Elle se jeta alors dans ses bras le serrant contre elle à l’étrangler…

- J’ai peur, Alan… Murmura-t-elle.
- Voyons Amandine mais de quoi ?
- J’ai peur que tout ceci ne soit qu’un rêve… Que, d’un instant à l’autre, je me réveille dans mon lit à des kilomètres d’ici, seule sans espoir, sans rien… Tout ceci est au-delà de mes espérances… Lorsque j’ai quitté mon pays, j’avais dans l’idée de vous rencontrer, sachant pertinemment que mes chances étaient plus que minimes avec votre emploi du temps overbooké digne d’un premier ministre…
- Il est vrai que vous avez eu une chance énorme de me trouver là… Cela étant, j’espère que vous ne me comparez pas à un premier ministre en particulier et ce quelque soit le côté de la manche où il exerce… Dit-il en souriant. Plus sérieusement, il se trouve que je travaille moins ces prochaines semaines, je suis donc plus disponible…
- Et bien tant mieux pour moi, car je n’aurais pas eu les moyens d’aller vous chercher aux quatre coins du globe… Il est en effet rare de vous voir vous poser tranquillement quelque part… Qu’allez-vous donc faire pendant tout ce temps libre, vous qui n’aimez guerre rester oisif.
- J’envisageais simplement de m’atteler à la lecture de mon courrier pour commencer… Il s’avère que j’ai un grand nombre de fans… Cela vous direz de m’aider avec mes fans français ?
- Bien sur, avec plaisir, M. Rickman.
- Fort bien, Miss Desjardin… Que diriez-vous si maintenant nous allions prendre notre petit-déjeuner ?
- Ce serait en effet une idée judicieuse… Répondit-elle le regard de nouveau plein d’entrain.

Elle lui prit la main et le traîna au rez-de-chaussée.
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maryryder

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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeVen 24 Nov - 11:46

c'est vraiment kro mimi aline cette histoire!!!! ça me met presque la larme à l'oeil !!!
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Aline

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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeLun 27 Nov - 6:08

merci voila la suite Smile

Le lendemain matin, lorsqu’il se réveilla, ils étaient encore dans les bras l’un de l’autre. Il tourna lentement la tête vers le petit réveil déposé sur la table de chevet à sa droite, il était 8h. Mais comment sortir de ce lit sans la réveiller ? Il dégagea doucement son bras coincé sous la tête de la jeune fille qu’il déposa délicatement sur un oreiller… Il put alors sortir du lit, il rabattit ensuite les couvertures sur elle et lui caressa lentement les cheveux… Elle semblait si sereine dans son sommeil…
Soudain, la sonnerie d’un téléphone retentit. Maudissant intérieurement, la personne qui venait le déranger si tôt le matin, il se précipita dans sa chambre pour répondre.
Le téléphone l’ayant réveillée, Amandine ouvrit les yeux pour voir Alan sortir de sa chambre. Encore engourdie par le sommeil, elle s’étira et se leva lentement avant de le suivre. Devant la porte ouverte de sa chambre, elle attendit patiemment qu’il termine sa conversation. Lorsqu’il la vit dans l’encadrement de la porte, il lui sourit puis lui fit signe d’entrer. Elle ne se fit pas priée et vint s’asseoir sur le bord du lit. Quelques minutes plus tard, il raccrochait le combiné et s’adressait à Amandine :

- Je suis désolé de vous avoir réveillée… Si vous le désirez vous pouvez aller vous recoucher.

Pour toute réponse, elle s’approcha de lui et l’embrassa sur la joue tendrement, tout en lui caressant l’autre joue de sa main :

- Bonjour M. Rickman… Et vous n’avez pas à vous excuser, un bel homme comme vous peut s’octroyer le droit de réveiller qui il veut… Lui murmura-t-elle à l’oreille.

Ce à quoi il répondit, de sa voix profonde et sensuelle :

- Si vous le dîtes… Mais je reste tout de même gêné, vous dormiez si paisiblement et votre apparence était tel un ange venu tout droit du paradis pour éclairer la terre et les hommes…
- Pourquoi venu ? Mais je suis au paradis depuis que je suis près de vous… J’ai l’impression de revivre… Vous me voyez donc dans l’obligation de rester à jamais auprès de vous… Ma vie en dépend… Poursuivit-elle sur le ton de la plaisanterie.
- Très bien, je vous prends aux mots… Dorénavant, je ne vais nulle part sans vous… Et nous allons débuter notre entreprise en se promettant de toujours prendre notre petit-déjeuner ensemble et ce quelque soit l’endroit où nous nous trouvons.
- Ok, je relève le défi… Répondit-elle en riant… Qui sait, notre vie commune nous mènera peut-être à Paris… Dans ce cas là, my dear english friend, je veux qu’à votre tour vous me promettiez que nous irons prendre ce petit déjeuner sur les Champs…
- Cela va de soit, ma très chère et tendre petite française. Répondit-il un sourire aux lèvres. Mais pour le moment, profitons de l’instant présent, c’est si exaltant d’avoir une aussi adorable personne à ses côtés.

Il lui sourit, mais se rendit rapidement compte de la disparition de la bonne humeur de la jeune fille. En effet, cette dernière n’affichait plus le visage gaie qu’elle lui avait jusque là présenté mais un regard embué par des larmes naissantes. Elle se jeta alors dans ses bras le serrant contre elle à l’étrangler…

- J’ai peur, Alan… Murmura-t-elle.
- Voyons Amandine mais de quoi ?
- J’ai peur que tout ceci ne soit qu’un rêve… Que, d’un instant à l’autre, je me réveille dans mon lit à des kilomètres d’ici, seule sans espoir, sans rien… Tout ceci est au-delà de mes espérances… Lorsque j’ai quitté mon pays, j’avais dans l’idée de vous rencontrer, sachant pertinemment que mes chances étaient plus que minimes avec votre emploi du temps overbooké digne d’un premier ministre…
- Il est vrai que vous avez eu une chance énorme de me trouver là… Cela étant, j’espère que vous ne me comparez pas à un premier ministre en particulier et ce quelque soit le côté de la manche où il exerce… Dit-il en souriant. Plus sérieusement, il se trouve que je travaille moins ces prochaines semaines, je suis donc plus disponible…
- Et bien tant mieux pour moi, car je n’aurais pas eu les moyens d’aller vous chercher aux quatre coins du globe… Il est en effet rare de vous voir vous poser tranquillement quelque part… Qu’allez-vous donc faire pendant tout ce temps libre, vous qui n’aimez guerre rester oisif.
- J’envisageais simplement de m’atteler à la lecture de mon courrier pour commencer… Il s’avère que j’ai un grand nombre de fans… Cela vous direz de m’aider avec mes fans français ?
- Bien sur, avec plaisir, M. Rickman.
- Fort bien, Miss Desjardin… Que diriez-vous si maintenant nous allions prendre notre petit-déjeuner ?
- Ce serait en effet une idée judicieuse… Répondit-elle le regard de nouveau plein d’entrain.

Elle lui prit la main et le traîna au rez-de-chaussée.

Ils descendirent les escaliers et rejoignirent le salon où avait été dressé le petit-déjeuner sur une grande table. De toute évidence, Nigel, le majordome, était passé par là. Amandine fut surprise qu'une place lui fut réservée... Alan lui répondit simplement qu'il avait pris le temps de laisser un mot dans la cuisine à l'intention de Nigel, hier soir.

- Et où est-il maintenant ? Demanda-t-elle. J'aimerais bien le rencontrer et le remercier...
- Je craints qu'il soit déjà reparti. Il vient de très bonne heure afin de repartir dès que son service est terminé afin de pouvoir partir s'occuper de sa mère qui est très malade... Vous le verrez sans doute ce soir.
- Ce n'est pas grave, j'espère...
- J'ai bien peur que si, les médecins ne lui donne que très peu de temps à vivre...

Toujours main dans la main, il plongea quelques secondes son regard dans le sien, avant de reprendre :

- Mais ne parlons pas de telles choses de si bon matin.
- Vous avez raison... Elle lui sourit et reprit : Ça sent bon en tout cas...

Il lui avança une chaise et l'invita à s'asseoir. Elle ne se fit pas prier... Quelques secondes plus tard, ils étaient confortablement installés l'un en face de l'autre.
Elle le regarda avec un grand sourire et il lui demanda :

- Qu'est-ce qui vous fait ainsi sourire, Amandine ?
- Rien de spécial, je me disais simplement que des hommes comme vous, on n'en fait plus... Tout ceux que j'ai pu rencontrer, ont toujours eu une attitude des plus infantiles, je vous passe les détails.
- Merci mais je dois cela à ma chère maman et à ses recommandations lorsque j'étais enfant... Vous savez comment sont les garçons avec les filles, ils ne peuvent s'empêcher de les embêter...
- Oui, j'ai connu ça... Et que vous disait donc votre mère pour ne pas que vous les chahutiez ?
- Rien d'exceptionnel, simplement : « Alan ne soulève pas la jupe des filles, ne les frappe pas, soit gentil avec elles... à commencer par ta soeur. » Et pleins de choses dans le même genre mais toujours avec douceur, gentillesse et bonne humeur tant et si bien que la dernière chose que je désirais c'était bien de la décevoir...
- Et bien je peux vous affirmer que rien que pour cela, elle peut être fière de vous.
- C'était une femme si merveilleuse, d'une grande bonté et avec tant d'humour... Vous savez, elle avait beaucoup de talent pour la comédie mais nous n'avions pas beaucoup d'argent donc pour nous faire vivre, elle a arrêté de jouer pour travailler dans une usine...
- Je vois que vous adorez votre mère autant que moi la mienne.
- Vous ne m'avez pas encore parlé d'elle, comment est-elle avec vous ?
- Elle est adorable, vraiment gentille. Je me confie souvent à elle. Pour vous faire une idée, elle est l'opposé de mon père.
- Je vois... Votre père a toujours été ainsi ?

Elle ne répondit pas, baissa simplement les yeux et se contenta de manger. Alan reprit donc la parole:

- Je sais que cela vous fait mal d'en parler mais évacuer ce qui vous pèse peut vous faire du bien...

Elle releva son regard et sembla se décider :

- Vous avez sans doute raison... Et pour répondre à votre question : Non, mon père n'a pas toujours été ainsi, cela a commencé quand il a eu de gros problèmes d'argent. C'est une longue histoire...
- J'ai tout mon temps... Il se leva, vint s'asseoir près d'elle et lui prit la main. Je vous écoute.
- Voilà, j'étais encore au collège à l'époque, et ce n'était pas très facile pour moi : J'avais de grosses difficultés scolaires et, à l'exception de quelques personnes (essentiellement des filles), mes camarades de classe avaient pour habitude de me surnommer « Gros Téléphone »...
- Ce que les enfants peuvent être cruels !!! S'exclama-t-il en déposant un baiser sur son front... Poursuivez...
- C'est dans ce contexte que ma mère nous annonça à ma soeur et moi que nous allions avoir de gros problèmes d'argent. J'ai donc du faire face aux huissiers peu sympathiques, à l'accumulation des lettres des impôts... Je ne le faisais pas voir mais à l'époque, j'étais terrifiée, j'avais peur que l'on finisse à la rue. Et nous avions si peu d'argent que nous n'avions presque rien à manger certains soirs. Mais, il y a quelques années, mon père a trouvé une solution en montant un dossier d'aide social qui a été accepté, je n'ai appris que bien plus tard, qu'il avait signé au nom de ma mère, chose que j'ai peu apprécié...
- Et votre mère a laissé faire sans rien dire ?
- Bien sur que voulez vous qu'elle fasse, grâce à ça nous pouvions vivre mieux. Bien sûr, l'annonce de ma maladie n'a rien arranger à l'affaire, mon père l'a si mal pris qu'il a sorti quelque chose du genre : « On est pas assez dans la merde, il faut que cette imbécile tombe malade... Et bien sûr qui va devoir payer ??? » J'étais trop énervé pour lui rétorquer quoi que ce soit... Mes parents ne savent d'ailleurs pas à quel point je suis malade... Au bout de quelques temps, j'ai fini par prendre mes cliques et mes claques et je suis partit...
- Sans argent ?
- Non pas totalement, j'avais quelques économie suite à un petit boulot...
- Et vous avez tout abandonné, sans regret ?
- Oui, sans regret... Je me souviens encore du jour où suite à une chute dans les escaliers, ma mère a du insister auprès de mon père pour qu'il vienne l'aider à me relever et par dessus le marché, il n'a rien trouver de mieux que de me crier dessus...
- Et bien quelle famille !!! S'exclama-t-il.
- Comme vous dîtes, M. Rickman.

Elle lui sourit, et lui offrit un regard emplie de passion. Il soutint son regard et lui murmura:

- J'adore quand vous prononcez mon nom, ma douce petite française.
- Arrêtez Alan, ou vous allez encore me faire rougir.
- Mais je n'attends que ça, vous êtes tellement belle quand vous rougissez.

Il tendit sa main vers elle, et lui caressa la joue. Lentement, leurs visages s'approchèrent l'un de l'autre. Il glissa une main sous la nuque de la jeune fille tandis que l'autre se posa sur sa hanche. Leur lèvres se frôlaient déjà. Elle ferma les yeux. D'une pression, il l'attira à lui. Elle passa ses bras autour de son cou, et enfin, leurs lèvres rentrèrent en contact... Rapidement, leur langues se mêlèrent... Jamais Amandine n'avait connu de baisers plus passionnés... Alan surpassait dans la matière tous les hommes qu'elle avait connus jusque là. Il la serra encore plus fort contre lui... A bout de souffle, ils relâchèrent leur étreinte. Elle déposa alors sa tête sur son épaule alors qu'il lui caressait délicatement les cheveux.
Quelques secondes plus tard, il brisa le silence, pour lui souffler doucement :

- J'ai un gros problème, Amandine...

Elle releva la tête et le regarda les sourcils froncés d'un air intrigué. Il poursuivit :

- Je crois que je suis entrain de tomber amoureux de vous...

Elle se dérida alors et lui sourit :

- Et bien il semblerait que nous ayons le même problème...
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeLun 27 Nov - 11:54

raaaaaaaaa.... c'ets trop beau !!!! Tu as vraiment décidée de me faire pleurer Aline !!!! ( et d'ailleurs je dit bravo pour ça... ça me ferait du bien si je pleurais réellement je crois .... bref, on s'en fou)

en tout cas .... très très belle fic!!!!! ...... mais rassure moi ... ce n'est pas autobiographique (si on oublie le fait que tu sois avec Alan) ????
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeLun 27 Nov - 13:06

Non ce n'est pas autobiographique mais malheureument j'aurais bien aimée être à sa à Amandine ...mon Lala je t'aimée ..serieur quand écrie cette fiction sa me fait oublier mes idée noir et encore merci de me lire Smile
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMer 29 Nov - 11:48

3) Sentiments.



Allongée sur son lit, elle repensait à leur baiser, à son regard plongé dans le sien scrutant jusqu’au fond de son âme avec tendresse et une pointe de désir…
Jamais elle n’avait sentie de telles choses, aucun homme ne l’avait jusque là embrassée avec tant de passion, de fougue. Elle avait aimé sentir ses mains sur elle, entendre les mots qu’il lui avait susurrés à l’oreille.

De son coté, Alan avait adoré la façon dont elle l’avait embrassé avec tendresse, douceur… Son baiser avait un goût si tendre, son regard était si envoûtant…
Maintenant, il en était certain, il était tombé amoureux d’elle. Il n’avait pas ressenti un tel sentiment depuis tant d’années !
Malgré ses sourires, son sens de l’humour qu’il affichait en société, il se sentait toujours seul. Seul son métier réussissait à l’empêcher de couler, de sombrer dans ce monde qu’il voyait sans but, sans amour. Même avec Rima, il cachait ses sentiments, ses pensées… Il l’avait aimée certes mais seulement comme une amie, une sœur…
Et enfin, il avait la sensation de revivre… Amandine avait réveillé en lui tant de choses jusqu’alors oubliées. Jamais il n’aurait imaginé tomber sur une jeune femme avec tant de courage, de joie de vivre alors que sa fin était si proche. Mais elle restait si fragile, la dernière chose, qu’il désirait à cet instant, était de lui faire du mal, qu’on lui fasse du mal. Il était alors décidé à la rendre heureuse jusqu’à la fin, il voulait lui faire découvrir tant de choses…
Il en était malade de voir une si belle jeune femme être aux portes de la mort.

Amandine, quant à elle, n’aurait jamais imaginé, même dans ses rêves les plus fous, tomber amoureuse de lui, goûter à ses baisers si sucrés que leurs goûts embaumés encore sa bouche.
Elle se remémora alors, sans trop savoir pourquoi, une anecdote que lui avait conté Camerata, une de ses amies sur le forum consacré à Alan et sur lequel elle aimait passer ses journées de temps à autres : Elle lui avait raconté la rencontre d’une jeune femme avec Alan, ils dînaient alors dans le même restaurant, et au grand dam de la jeune femme, il avait posé son regard sur elle alors qu’elle avait la bouche pleine de calamars, leurs tentacules pendant le long des lèvres… L’image de la jeune femme s’imposa alors à l’esprit d’Amandine qui explosa de rire.

Alan entendit son rire alors qu’il montait la voir, il frappa à sa porte et entra pour la surprendre le visage rouge d’avoir trop rit :

« Excusez moi, mais je pensais à quelque chose… Il ne me faut pas grand-chose pour éclater de rire. » Dit-elle confuse.
« Et à quoi donc pensiez-vous ?… Histoire de pouvoir rire à mon tour… »
« Simplement à ce qu’avait écrit une fille sur le forum qui vous est consacré… Je trouve d’ailleurs dommage que vous n’aimiez pas aller sur le net, vous auriez alors pu connaître le forum : Alan Rickman Paradise… »
« En réalité… » Dit-il, gêné. « Ce n’est pas que je n’aime pas, c’est que je ne sais pas utiliser un ordinateur. »
« Ne soyez pas gêné, on ne peut pas être doué dans tous les domaines… Dommage que le portable qui soit en bas soit celui de Rima, je l’aurez bien utilisé pour vous donner un petit cours d’informatique, bon bien sûr, je ne suis pas une pro, loin de là, mais je connais quelques petits trucs… »
« Et bien, sachez que j’ai justement un ordinateur dont je ne me sert pas dans mon bureau… C’est ma sœur qui me l’a offert, il y a quelques temps. »
« Si vous voulez, je peux devenir votre professeur personnel… » S’exclama-t-elle enjouée et le regard pétillant.

Il réfléchit quelques secondes et pensa : « Pourquoi pas, ça lui ferait tellement plaisir… »

« Très bien, puisque vous semblez si enthousiaste à cette idée… Suivez-moi. »

Il la conduisit au rez-de-chaussée et ils entrèrent dans une pièce contiguë au salon. La première chose qui sauta aux yeux d’Amandine était la profusion de livres, chaque pendant de mur couvert d’une bibliothèque. Au centre de la pièce se trouvait une table basse encadrée de deux fauteuils qui lui semblaient forts confortables et enfin près de la fenêtre un bureau bien rangé, où chaque chose avait sa place et sur lequel trônait l’ordinateur.
Elle s’installa au bureau face à l’ordinateur, Alan attrapa une chaise et s’installa près d’elle. Elle étudia quelques minutes la configuration de l’appareil et les logiciels installés :

« Je vois que vous avez un modem ADSL mais qu’il n’est pas installé sur votre machine. » Constata-t-elle. « Vous auriez un CD d’installation quelque part ? »

Il ouvrit un tiroir du bureau et en retira différents CD et manuels :

« Voila tout ce que j’ai ayant un rapport avec cet ordinateur. » Dit-il.

Elle fit rapidement son choix et débuta l’installation.

« Et bien ! » S’exclama-t-il pendant qu’elle oeuvrait. « Pour une personne qui ne cesse de dire qu’elle ne sait rien faire de ses mains, vous semblez dans votre élément… » Ce qui la fit rougir. « Ma petite française adorée est embarrassée !!! J’adore vous mettre dans une telle situation… » Lui dit-il en déposant un baiser sur sa joue.
« Voyons Alan !!! Si vous n’êtes pas plus sérieux, je vais devoir vous envoyer au coin. » Le charria-t-elle en rigolant.
« Très bien, Madame le professeur, je vais faire un effort… »
« Bien maintenant que la connexion internet est opérationnelle, je vais vous créer une adresse mail… » Quelque minutes plus tard, elle repris : « Bien maintenant, c’est à votre tour de jouer… » Elle lui laissa sa place face à l’écran et lui énonça ses directives : « Très bien, nous allons lancer le navigateur : Cliquez sur l’icône Internet explorer » Elle la lui indiqua sur l’écran. « Cliquez ensuite ici et écrivez l’adresse : www.google.com et tapez sur entrée… Très bien… Maintenant dans la zone de recherche… là… tapez : "Alan Rickman Paradise"... et entrée… Parfait… Maintenant cliquez sur ce lien… et nous y voilà !!! »
« Donc pour résumer… » Dit-il. « Je lance le navigateur, je vais sur google, j’écris ce que je recherche et le tour est joué… Pas si dur… Mais cela n’a rien d’étonnant avec un si bon professeur… »
« Mais cela aide grandement quand on a affaire à un élève attentif… Bien poursuivons… Nous allons vous inscrire sur le forum, cliquez sur inscription… Que voulez-vous comme nom d’utilisateur ? »
« Choisissons un nom de fille pour passer plus inaperçu… Disons… Emma »
Ce qui la fit rire.
« Après votre âge, Emma ? »
« Euh 23 ans… » Dit-il en rigolant.
« Votre mot de passe? »
« Amandine. »
« Amandine ? Vous être sûr? »
« Oui je suis très fier d’utiliser votre prénom que je trouve d’ailleurs très beau… »
« Merci Mr Rickman… Continuons, votre adresse mail… Très bien et on valide…Voilà vous allez maintenant recevoir un mail de confirmation… »

Une sonnerie retentit alors... Surpris, il se demanda s’il n’avait pas fait une mauvaise manipulation :

« Qu’est que c’était ? Rien de grave, j’espère… »
« Rassurez-vous, ce n’est que l’alerte de réception de messages… »
« Ok professeur, que faisons-nous maintenant ? »
« Vous allez m’inventer une petite présentation que je traduirais ensuite en français et vous la posterez sur le forum… »

Il s’exécuta et moins d’une minute plus tard il lui tendait son travail. Elle le traduisit rapidement :

Je m’appelle Emma.
J’ai 23 ans et je suis née le 21 février 1983. (Et oui, j’ai la même date d’anniversaire qu’Alan)
Je suis apprentie comédienne et je prends des cours de comédie à Londres.
J’aime lire, écrire, le cinéma, les musées, le piano.
Je n’aime pas trop l’informatique, de plus je débute mais c’est le meilleur moyen que j’ai trouvé pour parler de ma passion pour Mr. Rickman, je ne raffole pas non plus de la télévision…
Si vous avez des questions, n’hésitez pas…
Gros Bisou,
Emma.

Elle lui indiqua ensuite comment poster le message sur le forum.

« Et que faut-il faire maintenant ? » Demanda-t-il.
« Et bien il ne nous reste plus qu’à attendre qu’on vous réponde… En attendant, je peux vous expliquer quelques trucs si vous avez des questions… »
« Oui, une question me trotte dans la tête… Qu’est-ce qu’un administrateur ? »
« C’est simplement la personne qui gère le forum, en général, c’est elle qui a créé le forum… Sur ce forum ci, c’est Camerata, l’Admin. »
« Et elle est comment ? »
« Elle est très méchante, très autoritaire… Non, je plaisante, elle est sympa, elle… »

Elle s’interrompit, une migraine soudaine la foudroya… Elle grimaça de douleur.

« Ca ne va pas, Amandine ? » S’inquiéta-t-il.
« Si ça ne vous ennuie pas, j’aimerais me reposer un peu… »
« Mais bien sûr, on pourra reprendre plus tard. »
« Oui merci… » Elle lui déposa un baiser au coin des lèvres et il la raccompagna à sa chambre.
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMer 29 Nov - 11:59

géniallissime!! j'adore ce chap !!!! bon ... est-ce que emma est sur rickmaparadise ???? lol
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMar 5 Déc - 11:24

Je pense pas aimerais bien oki la suite miss

4) Petit moment



Il l’avais pris par la main et la conduit jusque sa chambre à lui …elle le regard avec désir mais elle avait très mal. Mais le faite être à coté de lui la ,soulager un peut il arrive dans la chambre Alan. .elle le regarder. lui aussi. Leurs lèvres ce toucha de nouveau, et leur baiser deviens de plus en plus passionner .il ce regard a bout de souffre, et ce prenez dans les bras l’un de l’autre.

Il ce regarda de nouveau il pris la main de la jeune femme est embrassa de nouveau, et elle déposant un baiser sur sa joue.

Il ce regarder dans les yeux avec la lumière du soleil les yeux Alan était plus clair et ce Amandine plus foncée.

Il l’embrassa sur sa joue au coin des lèvres, sur la bouche …leur baiser redevenais plus passionner, même plus que sa, était plus que de l’amour .., il caresser les cheveux de la jeune femme et descendez c’est lèvres sur son coup, elle recenser un long frissions, elle continua a caresse les cheveux de son amies.
Il la regarda lui dépocha un autre baiser sur c’est lèvres ….il lui murmure à l’oreille ….
- « Si vous voulez que arrête exister pas »
En lui dépocha un autre baiser dans son coup …….ce qui fait gémie la jeune femme
- « Ceux qui veut dire que vous pouvez continuer Alan »
Tous un coup il arrêta ….elle le regarde surpris …et lui dit

- « Qu’est qui as ?…j’ai fait quelle que chose de mal? »….elle le regarder avec les larmes aux yeux

Il approche d’elle, et lui dit …….tous en lui caressant sa joue.

- « Sa va allez ? Vous être sûr ? »
- « Oui je suis sur pourquoi cette question là est maintenant ? »…….elle le regarda surpris
- « j’ai remarquer que vous avez mal à votre tête »
- « Non c’est pas vrai j’ai pas mal …… »Lui dit t’elle en le regardent plus dans les yeux
- « C’est vrai car tous à heure leurs que l’ont montrée les escaliers avait remarquer que vous vous fronder la tête »
- « Oui c’est vrai …mais sa c’est passée vous s’avez il faut pas avoir peur, pour moi sa va »
- « Mais si j’ai peur c’est que je vous aimée, j’ai peur de vous prendre mais je c’est un jour vous quitter ce monde pour allez rejoindre le paradis des anges »
- « Vous s’avez même si le paradis existe j’espère vous voir heureux de là ou que je serais »
- « Je c’est pas si je serais heureux sans vous, vous voiler j’ai mie longtemps à retrouver le sourit »

Elle baisser la tête une larme coula sur sa joue, il la pris dans c’est bras elle lui dit
- « Alan si aurais ceux aurais jamais du venir jusque Londres ,je veut pas vous faire du mal de vous laisser aimée de plus en plus fort est que vous pensez malheur »
- « Mes bon je préfère vivre instant présent aux lieux de pleure pour rien, vous est là vivante en plus vous sentez bon la pêche »

Elle le regarda de nouveau et lui dit avec un sourit aux coin des lèvres

- « Dite moi Monsieur Alan Sydney Patrick Rickman »
- « Oui qui à t’ils Ma Française adorée que aimée tend ? » Il la regarda comme si il avait fait un bêtise »
- « Vous voilez pas mon chère amies ?……….ce qui à ? »
- « Non je ne voie pas du tous ma chauves souris adorée »
- « Ne me prend pas par les sentiments …. » elle ce rendez contre quelle lui avait dit je que vous elle avait tutoyer …..Désoler aurais pas du »
- « Pas grave ont peut ce tutoyer maintenant puisque que notre réalisions est passée de amies a autre chose »
- « A quoi est t’elle passée notre relation? Alan »
- « A celui de l’amour Amandine , j’espère être bientôt ton amant »
- « Est moi ta maîtresse »

Il pris place est s’allonger est endormir profondément

Quelle que minutes plus tard elle ce réveilla est lui il dormait profondément elle lui caressa les cheveux el lui déposant un baiser sur son front ,elle frontes son nez sur le sien et embrasser de nouveau ,son cœur battez à cent à heure ,même si elle avais déjà partager des montent avec un hommes elle avait jamais ressentir ce quelle ressent là du désir ,de l’amour le vrai pas celui qui vient est qui part au bout de 2 à 6 semaines plus que sa elle avait trouver un hommes qui aimé quelle puisque lui rendre en retour de l’amour .
Il était réveiller est la retrouva sur lui …il la regarde avec tendresse en lui dépochant un baiser à son tour et lui dit en souriant

-« Qu’est que tu fait sur moi j’espère que tu compte pas me manger tous crue? »
Elle le regarda est lui murmure à oreille
- « Si tu veut tu peut me mangez mon Anglais »

Ils embrassa est il faisais plus un, un seules au monde plus rien compter, il voiler plus les minutes les secondes qui passer, la terre avait finir de tournée pour eux et il avait fait ce que chaque être humain aimée amour

Elle avait sa tête sur son torse et ont pouvez entendre leur respiration, il fait briser le silences est lui dit ainsi

- « Sa va allez ma douce … ».il demande t’ils en lui caressant son épaules
- « Oui je vais très bien même plus ……. »

Il passa quelle que heure aux lit mets devais revenir à la réaliser très vite .
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMar 5 Déc - 12:53

OMG!!!! Aline !!!! c'ets décidé... je suis fan de ton histoire !!!! c'est kro mimi tout ça !!! ^^
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMar 5 Déc - 18:58

J'adore vraiment beaucoup ton Histoire Very Happy Elle est si bien et ton Style d'écriture..Comment dire ? MERVEILLEU Very Happy Je suis vraiment trop Fan de Ta Fiction Smile J'espère que La suite arrivera bientot ;p!!
-XxxxxXxxxX-
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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMer 6 Déc - 7:58

Merci à vous deux Embarassed

5) Dans Londres

Il n’avait pas vu l’heure passer… Il était déjà 12h20, ils dormaient profondément.

Il fut réveillé le premier et il la regardait dormir profondément… Il avait peur qu’elle ne se réveille jamais mais il enleva cette idée noire de la tête… Il se décida de se lever et d’aller à la cuisine pour préparer le déjeuner, son major d’homme lui avait préparé un plat de pâtes accompagné de boulettes pour lui et Amandine.

Il prépara une salade avec quelques cubes de fromage, puis il fit réchauffer les pâtes avec les boulettes dans une casserole. Lorsque ce sera prêt, il l’apporterait à Amandine quand il attendit :

- « Dit moi Alan, c’est pour nous tout ça ? »
Il se retourna et lui sourit, elle avança vers lui et lui déposa un long et doux baiser, puis il lui répondit :

- « Oui, ça ne me dérange pas de te préparer le repas et de te servir mon ange ! »
- « Alan, assis toi je vais mettre la table ! »
- « Non tu t’assois ! » Elle le regarda et se sentit mal.
- « Je peux le faire tu sais ! » Dit elle en lui déposant un baiser sur les lèvres.
- « Non ! Je ne veux pas que tu le fasses, surtout après ton mal de tête, assis toi ! » Elle le regarda et elle lui répondit :
- « Oui mais j’ai l’impression d’être inutile Alan… » Il la prit dans ses bras et lui dit à l’oreille doucement :
- « Mais non tu est pas inutile… Pour moi une personne inutile, c’est une personne qui se laisse aller dans la maladie ! Toi tu te bats et je n’ai jamais vu une personne aussi gentille, douce, et qui grâce à elle je sais maintenant faire une salade ! Alors fait moi plaisir ma Française adorée, assis toi et laisse moi faire. »

Elle se posa sur une des chaises de la cuisine et le regarda faire, il déposa le saladier sur la table… Il la servit, lui donna un verre d’eau fraîche et s’installa à côté d’elle… Il ne pu s’empêcher de déposer un baiser sur les lèvres de sa compagne, elle lui répondit par un autre et il lui dit :

- « Bon appétit ma chérie » En lui déposant un baiser sur la joue, elle lui répondit :
- « Bon appétit à toi aussi, mon Anglais. » En lui caressant le visage.

Il fut obligé de réchauffer les pâtes car entre deux coups de fourchette, ils n’arrêtaient pas de s’embrasser… Mais en voulant les retirer du feu, il se brûla, elle se leva, lui retira la casserole des mains, elle lui mit la main sous l’eau froide…

- « Tu te sens mieux Alan, ça ne brûle plus ? »… Il lui répondit d’un « oui » de la tête.
- « Assis toi je vais te servir ! »
- « Non je peux le faire ! »

Aucun des deux ne voulaient lâcher l’affaire et elle lui dit :

- « Tu t’es brûlé la main Alan ! »
- « Et toi tu avais mal à la tête ! »
Ils se regardèrent dans les yeux et elle lui répondit :

- «Ça va mieux… Je te l’assure ! »
- « Non, je suis sûr que non ! Assieds toi ! »
- « Non ! Tant que tu ne voudras pas me laisser servir, tu n’auras plus de câlins, ni de bisous ! »

Il déposa ses mains sur les hanches d’Amandine et lui souffla à oreille des mots tendres, elle lui dit :

- « C’est bon tu as gagné, mais tu aurais pu me laisser gagner ! »
- « J’allais le faire mais tu as parlé avant moi ! »
- « Menteur… » Lui dit elle en lui touchant le bout du nez.
- « Promis juré ! Mais je ne crache pas devant une femme ! »
- « Ah ! Je suis une femme ! Alors laisse moi te servir ! »
- « Bon d’accord, mais ce soir je veux un gros câlin, d’accord ? »
- « Oui, mais je veux qu’il ne reste rien dans ton assiette ! »
- « Bien, mais je dois faire attention de ne pas trop manger car dans quelques temps je reprend le tournage d’Harry Potter et Le Prince de Sang Mêlé… »
- « Dommage car j’adore ton cousin d’amour, et je trouve sexy tes pommes d’amour, mon Lala adoré que j’aime… »
- « Mais s’il continue ton Lala va devenir un melon… Et il ne restera plus de place dans notre lit ! »

Elle le serra dans ses bras et lui répondit :

- « Même si tu deviens un melon… Je t’aimerais quand même, mon Anglais… »

Il lui déposa un baiser sur son front et elle se servit après le repas, un gâteau au chocolat et à la meringue, son préféré, Alan décida de manger une pomme, puis il lui dit :

- « Ma Française cet après midi, nous irons faire les magasins, car tu n’as plus beaucoup de vêtements à te mettre. »
- « Oui… Enfin surtout du côté de mes sous–vêtements ! »
- « Je les trouve sexy tes sous –vêtements, surtout ceux de tout à l’heure ! »
- « Alan, tu ne comptes pas me les voler j’espère ? »
- « Euh non, sauf si tu me voles mon caleçon ! »
Ce qui les fit rire de bon cœur…. Il adorait l’entendre rire de cette manière.

- « Non merci Alan, je te laisse tes sous vêtements…Maintenant je vais faire la vaisselle. »
- « Ma puce, ce n’est pas la peine, il a un lave vaisselle… Pendant que je débarrasse, va te préparer… »

Il la laissa monter et en profita pour téléphoner à une personne :

- « Alors vous avez compris à 14h05 je viendrais vous donner les clés ! Je compte sur vous ! »
- « Oui monsieur.» Lui répondit une voix masculine.

Il se retourna et vit qu’elle était descendue, il lui dit :

- « Ah tu es déjà prêtre ma crème. »
- « Oui, il ne me reste plus que mon écharpe à mettre. »

Il enfila son manteau et ils partirent à pied. Les rues étaient décorées des décorations de noël… C’était très beau, il y avait des étoiles, des pères Noël qui étaient allumés, ils arrivèrent dans le magasin et il lui demanda de choisir des vêtements, il devait aller faire une course et il n’en avait que pour quinzaines de minutes, elle acquiesça… Elle se promena et fit plusieurs fois le tour du magasin, elle tournait en rond, elle essaya quelques affaires… 14h20, il n’était toujours pas revenu… Le magasin était rempli de monde, par miracle elle trouva un banc… 15h00… Elle se demandait, s’il ne l’avait pas abandonné, qu’il n’allait jamais revenir la chercher… Elle secoua la tête et se dit que ce n’était pas son genre…

- « Ah te voilà… Et tu as réussi à trouver quelque chose, ma crème ! » Elle se leva et lui sauta dans les bras, elle lui dit :

- « Pardon Alan »… Il la regarda quelque peu surpris.
- « Pardon de quoi, ma Française ? »
- « D’avoir pensé que tu n’allais pas revenir me chercher. »
- « Non, je n’ai rien à te pardonner. Tout est de ma faute… En revenant, j’ai vu ceci dans un magasin… Je trouvais ça joli pour décorer le sapin de noël, et puis finalement ça m’a pris plus de temps que prévu ! »
- « J’en ai de la chance Alan ! Alors on le fait quand ce sapin ? »
- « Demain soir si tu veux ? Mais il faudra acheter d’autres décorations, si tu le veux évidemment ? »
- « Oui ça me ferait plaisir ! »

Il paya les achats qu’Amandine avaient effectué et ils allèrent se promener dans les rues de Londres…
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Aline

Aline


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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMer 6 Déc - 8:00

6)Moment précieux (1éme Partie)

Ils se promenaient dans les rues de Londres. Elle regardait les vitrines des magasins, elles étaient aussi belles les unes que les autres, elle remarqua un magasin qui vendait des décorations pour les fêtes de Noël. Alan regardait un autre magasin qui se situait à côté de celui-ci.

- « Alan ….. »

Il se retourna, la regarda et lui dit :

- « Oui ma petite Française qui a t’il? »
- « Nous allons nous promener dans ce magasin… Ils vendent des décorations pour les fêtes ? »
- « D’accord si cela peut te faire plaisir... Et cela peut être intéressant… »

Ils entrèrent dans le magasin… Ils regardèrent les décorations… Alan voyait un sourire se dessiner sur le visage d’Amandine… Il adorait la voir sourire de cette manière… Il pensa qu’elle passerait son premier Noël loin de sa famille… Mais il le passerait rien que tous les deux… Il trouverait bien une excuse à donner à sa propre famille… Ils choisirent plusieurs objets… Dans un autre rayon, elle le regarda et lui dit :

- « Regarde Alan, ces décorations en forme de fée sont vraiment superbes… Qu’en penses-tu ?
- « Montre les moi, s’il te plait. »

Elle les lui montra et lui répondit :

- « C’est vrai, elles sont très belles… Nous allons en prendre quatre de chaque couleur. »

Elle déposa un baiser sur ses lèvres et lui dit :

- « Alors je prend les fée de couleur or, argent, rose et rouge… Voilà … Les autres ne sont pas jolies. »
- « D’accord, mais nous devons prendre des boules, des pochoirs et des bombes : or, rouge, argent… Et évidemment la couleur préférée de ma Française : le rose… »

Elle le regarda avec un sourire aux lèvres. Ils se dirigèrent vers la caisse, il paya et ils sortirent du magasin… Sur le trajet, il lui dit :

- « Tu devrais appeler ta mère…Même si tu as eu des problèmes avec ton père, il faudrait que tu la rassures… »
- « Alan si te plait, je n’ai pas envie de parler de cela maintenant… Mais je le ferais… »
- « Promis, ma Française ? »
- « Promis, juré ….. Mais je ne crache pas, je suis une femme… »

Il se mit à rire… Ils continuèrent à marcher en discutant, la neige tombait de plus en plus forte… Après une longue marche, ils arrivèrent devant la maison… Ils entrèrent et il lui dit avec un sourire :

- « Tu devrais monter te changer ma Française, sinon tu risques d’attraper froid… »
- « Oui tu as raison, Je vais en profiter pour me reposer un peu… Tu me rejoins ? »
- « Oui... Je dois passer un coup de fil, et je te rejoints de suite… Au fait prend tes affaires ma crème… »

Il lui tendit le sac, elle le lui prit des mains et lui déposa un doux baiser …..Elle monta et rangea ces nouveaux vêtements… Elle s’allongea sur le lit… Elle repensa à ce qu’il s’était passé le matin même dans ce lit… La façon dont il lui avait fait l’amour… Elle ressentait encore ces caresses sur son corps… Puis elle se demandait ce qu’elle allait lui offrir pour Noël… Elle n’entendit pas Alan entrer dans la pièce… Son esprit vagabondait ailleurs… Il lui déposa un baiser sur la joue, elle recula de surprise… Il lui dit :

- « Ai-je fait quelque chose de mal, ma Française ? » Il la regarda préoccupé…
- « Non j’ai eu simplement peur, j’étais dans mes pensées mon Anglais »
- « C’est vrai?... Tu ne me dis pas ça pour me rassurer ?... Car je sais que je suis vieux et moche? »

Elle lui déposa son doigt sur sa bouche et lui dit :

- « Non, c’est vrai… J’étais dans mes pensées… Je t’aime Alan et pour moi tu es ni vieux ni moche… Je t’aime mon Anglais… Et j’adore être dans tes bras… Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour, on puisse me donner autant d’amour et de tendresse… Même cette amitié que tu me donnes, j’en suis heureuse… Ma douleur a disparu, je n’ai plus mal comme avant… »
- « Oh, c’est vrai… »

Il déposa un autre baiser sur ses lèvres….

« Je t’aime aussi, tu m’as permis de retrouver la joie de vivre… Tu es ma crème, ma petite Française, ma lumière… Je t’aime, je t’aime et ceci je te le dirais tous les matins, tous les jours, toute la vie…»
- « Alan, je peux dire que j’ai de la chance… Mais tu sais je suis gênée… »

Il la regarda d’un air inquiet :

- « Gênée ? Mais gênée de quoi, ma française que j’adore… »
- « En fait, je ne sais pas quoi t’offrir pour Noël… »

Il la regarda en souriant et lui dit :

- « Le plus beau cadeau de Noël que tu puisses m’offrir, ce serait que l’on reste ensemble, rien qu’à deux… Et passer notre Noël en France… »
- « Alan tu veux dire que nous irons à Paris tous les deux ?»
- « Oui…Si tu le veux?… »
- « Bien sûr que je le veux, je serais la femme la plus heureuse de la terre… Je t’aime… »
- « Moi aussi, je t’aime… »

Il lui déposa un autre baiser sur les lèvres et il lui dit :

- « A fait, je t’ai apporté des gâteaux et du lait… Tu dois avoir faim ma Française… »
- « Oui merci Alan ………je vois que mon Lala a pensé à lui… »
- « Oui… ce n’est pas pour quelques cookies de plus ou de moins, que je vais retrouver une ligne parfaite… »
- « Encore cette histoire… Mais moi j’adore ton cousin d’amour… »
- « Oui, je sais ma Française… »

Ils mangeaient tranquillement les gâteaux, et de temps à autre, ils s’embrassaient tendrement… Quelques fois, ils se donnaient même à manger… Un peu plus tard, il se leva et lui dit :

- « Dans ma chambre, tu trouveras une boite… Je ne t’en dis pas plus… »

Il lui déposa un baiser sur le front et partit de la chambre… Elle se demandait ce qu’il avait encore bien pu inventer… Elle se rendit donc dans la chambre d’Alan, sur le lit il y avait une boite, elle l’ouvrit… A l’intérieur, il y avait une robe de soirée, elle était rose et blanche, ni trop longue ni trop courte. Il y avait également un nécessaire de coiffure et de maquillage… Elle se prépara et se maquilla… Quelques minutes plus tard, elle se dirigea vers l’escalier, le descendit et elle aperçut un homme habillé de noir… Elle se demanda mais qui était cet homme
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maryryder

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MessageSujet: Re: La vie avec lui   La vie avec lui Icon_minitimeMer 6 Déc - 9:23

OMG!!!!! OMFG!!!! Aline ...... j'ai adoré ces 2 parties !!! et le dialogue sur les poignées d'amour ....... trop mignon tout ça !!!! :p
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